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Sound 1

18 novembre 2008

Acoustic Ecology and SoundScape Composition by David Paquette

Nous avons eu la visite de David Paquette dans notre cours de vendredi dernier. Il nous a parlé d'un sujet qui m'emballe énormément : l'Acoustic Ecology and SoundScape Composition. Il nous a d'abord expliqué l'historique du World SoundScape Project, un regroupement d'artistes sonores ayant vu le jour en 1970. J'ai alors appris ce que consitituait un soundscape. Il s'agit d'un environnement sonore perçu par chaque individu. Nous avons donc une compréhension subjective des sons qui nous entourent, puisqu'ils ont pour tous et chacun une signification différente. Il mentionnait que le microphone était donc l'objet le plus objectif qui soit.
Par la suite, il nous a expliqué trois concepts reliés au soundscape composition : keynotes, sound signals et soundmarks.
Les keynotes sont des sons en arrière-plan, constamment entendus, tels les bruits lié au traffic.
Les sound signals sont les sons en avant-plan, centres de notre attention.
Les soundmarks sont les sons spécifiques, ayant des qualités ou des attributs particuliers. Ils sont lié à un environnement sonore particulier.
David Paquette a ensuite souligné le phénomène de la schizophonia - lorsque le son est séparé de sa source originale. Cet évènement est apparu avec l'arrivée du premier phonographe. Ce phénomène a un effet négatif sur notre société puisque nous avons tendance à oublier la symbolique du son.

Il a terminé sa lecture sur quelques projets sur lesquels il travaille, tel Sonic Identity. Ce projet m'a beaucoup rejoint. Nous sommes tous intimement reliés à l'environnement sonore dans lequel nous évoluons. Nous associons les bruits à certaines images et lieux qui nous sont propres. Cette lecture a beaucoup changé la façon dont je concevais le son. Maintenant, grâce à un soundwalk dans le campus et mes connaissances sur le soundscape, j'arrive à comprendre à quel point certains sons font partie intégrante de notre milieu de vie. Ils sont si familiers que parfois nous n'y portont même plus attention.

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15 novembre 2008

Sound Desing

J'ai lu le chapitre sur le Sound Desing and le livre d'Alten. Il y avait beaucoup d'informations pertinentes, et des exemples concrets qui m'ont permis de vulgariser le concept. D'abord, Alten explique le rôle du designer de son - il s'occupe du overall sound et de la création sonore en générale. Un bon designer de son doit savoir écouter et avoir des "oreilles" éduquées. Il y a trois domaines dans la création sonore, il s'agit du speech, des sound effects ainsi que de la music. Alten souligne qu'il y a aussi le silence et l'abilité d'évoquer une image. Il fait référence à Michel Chion en citant ses dires "Listening with the ear is inseparable from listening with the mind." Je crois qu'il a totalement raison, en écoutant, ce ne sont non seulement nos oreilles qui sont stimulées, mais aussi notre esprit. Les sons ont tous une référence particulière, directement associés à notre mémoire.
Il parle aussi de la synesthesia, une phénomène où un stimulus appliqué à une modalité cause une réponse à une autre modalité. Par exemple, entendre un certain son créer une image mentale lié à ce son. Par la suite, plusieurs thèmes sont abordés dans la section functions of sound in relation with picture. Il y a cinq grandes catégories :
Sound Parallels Picture - le son et l'image sont tous deux neutres, il n'y a aucun élément dominant
Sound Defines Picture - l'audio détermine le point de vue (subjectif) de l'image
Picture Defines Sound - l'image aide a définir le son
Sound and Picture Define Effect - ensemble, le son et l'image créer un impact
Sound Counterpoints Picture - il s'agit d'un paradoxe, lorsque le son n'a pas de relation avec l'image
Cette section m'a permis de faire des liens directs avec des films que j'avais vu. Je trouve très intéressant de pouvoir faire ces associations. La prochaine fois que je visionnerai un film, je porterai une attention toute particulière aux relations entre le son et l'image, puisqu'ils déterminent bien le sens d'une scène.
Ensuite, Alten élabore ce qu'est un script analysis, composé d'une session de spotting, c'est-à-dire le placement des effets sonores et de la musique et d'un overall sound desing.
Ce chapitre sur le sound desing était, à mon avis, le plus intéressants de tous puisqu'il ciblait directement le rôle du son dans des productions cinématographiques. Il s'agissait d'informations beaucoup plus concrètes que l'explication d'une waveform! Je peux enfin comprendre l'utilité et l'emploi du son dans des réalisations. Je peux appliquer les théories de sound desing dans mon quotidien, en faisant l'analyse de films d'un point de vue sonore, par exemple.

12 novembre 2008

Janet Cardiff

Dans le cadre de mon cours de Media Criticism, j'ai lu un article sur Janet Cardiff, une artiste reconnue pour ses installations sonores. Lors de ma lecture, j'ai pu faire plusieurs références avec mon cours de sound 1. Elle parle d'abord de la physique et metaphysique du son, de comment nous entendons et analysons les bruits. Ayant déjà quelques connaissances préalables sur ce sujet, j'étais encline à une meilleure compréhension.

"In Cardiff's work, the pitch, shape, and richness of each sound are determinated by the place where it was generated. The particular surfaces, textures, and other physical qualities are always conveyed to the participants and inform them about their place of origin." Cardiff a une démarche artistique très personnelle qui implique  intimement l'auditeur. Elle recherche ce sentiment d'appartenance aux lieux à travers ses pièces sonores.  Elle mise aussi sur des moments de silence, puisqu'elle croit que c'est le silence qui phrase ce que nous entendons  en y donnant rythme et structure. Pour se faire, elle utilise certaines techniques : "Cardiff's frequent changes in rhythm, tempo, and pitch, as well as the way she says nothing for 10 seconds at a stretch, demonstrate the awarness of this delicately balanced interdependence."

Elle cherche à manipuler les émotions des spectateurs en focusant seulement sur l'écoute. Elle guide l'auditeur à travers ses walks. Lorsque nous avons parlé en classe de sound desing dans les films, j'ai appris que le son donnait le ton à un film. Il ajoutait émotions et tensions. Cardiff parle aussi de ce phénomène : " Sound has an ability to scare you, its invisible shostly presence is connected to our primal fears. The impression of a footstep behind you or a cracking twig can make you jump immediately without thinking." Ses sons sont si réalistes qu'ils donnent une présence et une impression des plus réelles.

Elle parle ensuite de la musique, exposant que la musique est le seul langage universel sur le plan émotionel. "Music is offers incredible scope for individual consciousness. [...] Music is perhaps the only form of invisibility that can be completely enjoyed as such."

Plus je me documente sur le son et ses artisants, plus je réalise à quel point il s'agit d'un médium riche et complet. Suite à ma lecture, je suis allée sur Internet afin de me renseigner sur quelques unes de ses pièces. Her Long Black Hair a particulièrement attirée mon attention. Il s'agit d'une walk de 35 minutes, misé sur un style quasi narratif, relatant une journée d'une énignmatique femme aux cheveux noirs. Cette installation a pris place dans le Central Park, chaque auditeur était muni d'une CD player et de photographies. La voix de Cardiff guidait les auditeurs à travers le parc.

9 novembre 2008

ÉUCUE XXVII // La Primauté De L'Oreille

Vendredi le 7 novembre, j'ai assisté à un concert d'électro-acoustique à la salle Oscar Peterson de l'Université Concordia. Un ami à moi, qui étudie dans ce domaine, m'a invité à cette soirée - c'était la toute première fois que j'assistais à un spectacle de ce genre, et ce ne sera probablement pas la dernière. J'y suis donc allée avec aucune appréhension, en étant totalement réceptive et ouverte. Je fus impressionnée du début à la fin et j'ai fait d'intéressantes découvertes.

Nous étions plongés dans un noir total, où huit gros hauts-parleurs éparpillés dans la salle nous entouraient. C'était étrange comme sensation de ne pas avoir accès au visuel. Tout était basé sur l'écoute - seuls nos oreilles étaient stimulées. Depuis que je suis toute petite, j'ai toujours perçu le son comme un élément complémentaire  à l'image. Le concert de ce soir m'a prouvé tout le contraire. ll y avait quatre pièces au total, la première de Robert Voisey, la seconde de Navid Navab, la troisième était un collectif Canadian 60x60 et la dernière, un morceau de Barry Truax. Deux pièces ont particulièrement attiré mon attention, Alchemy of food de Navid Navab ainsi que les soixante morceaux d'une minute chacune du Canadian 60x60.

La première pièce se voulait très humoristique. Des bruits de flatulences résonnaient dans la salle, sortant des différents hauts-parleurs. Même si la base était abstraite, Navab a su véhiculer une histoire. J'étais fascinée par l'omnidirection des sons, chaque haut-parleur diffusait une partie de la pièce à un temps différent, ce qui nous donnait l'impression de faire partie intégrante de l'environnement sonore.

Canadian 60x60 présentait le travail de soixante artistes. Chaque pièce était accompagnée d'un spectrogramme. Ayant préalablement étudié les spectrogrammes en classe, j'arrivais donc à suivre les pièces. J'ai pu mettre en pratique mes connaissances apprises en classe. Je savais à quel moment il y avait des pitches, je distinguais les hi, middle et low frequencies. Ça me procurait une certaine fierté!

J'ai pu repérer plusieurs concepts vu en classe lors de ce concert. J'ai aussi développé une habileté à écouter (active listening), tout en essayant de décortiquer les sons, et de faire des associations. Je trouve maintenant que les oeuvres sonores sont favorables à l'imagination et l'interprétation personnelle. J'ai aussi réalisé que les pièces abstraites m'interpellaient beaucoup. J'aime apprécier un son sans nécessairement connaître sa source ou sa constitution.

30 octobre 2008

Microphones

Some weeks about, I read in the Alter's book the chapter about microphones. I need to write down the essential elements if I don't want to forget! With the full class on microphone and my readings, I can say that I am quite familiar with microphones now! First of all, microphones change acoustic energy into electronic energy. There is three features to consider : operating principle, directional characteristics and sound respond. Microphones pick up sound from three directions, omnidirectional (all around), bidirectional (front and rear), and unidirectional also called cardioid (front only). A good mic technique is when the mic is directly in its pick up pattern. Alter talks about the polar respond pattern which refers to the directions from which a mic hears sound. He also explains the variable capacitance principle, a principle that transduce energy into voltage variation.

While recording narration, I should use the unidirectional microphone in order to get better sound quality. For all my recordings, I need to pay attention and be careful because all microphones will distort if sound levels are too high. It distort when the maximum sound-pressure level is reached. To resolve the situation, some pads are used as well as windscreens and pop filters (caused by wind or transients). Talking about transients, I learned they are sharp changes in the sound waves, usually done by mistake. I think these informations are importants in my process of learning how to record proprely.

I realized Marie-Pierre and I were very careful with the recording of our second projet. Knowing about microphones, I was more aware of what I should do and what I should avoid. We tried to pick up the narrative with different positions, holding the microphone in different ways. But I realized recoding is harder then I though. While editing the projet, we noticed there was a lot of unwanted ambient noises.

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27 octobre 2008

The Thin Red Line

J'ai regardé pour la première fois le film The Thin Red Line du réalisateur Terrence Malick. Il s'agit d'un film de guerre, relatant l'occupation américaine dans les îles du Pacifique durant la guerre de Guadalcanal, Deuxième Guerre Mondiale.
Nous venions tout juste d'aborder en classe les thèmes de la musique et de la narration dans les productions cinématographiques, ce qui m'a permis de relier la théorie académique avec le contenu du film. L'histoire se déroule sur des îles magnifiques, où les habitants vivent en harmonie avec leur environnement, où la nature est à perte de vue. Du coup, les soldats américains y débarquent, avec leurs canons et fusils, leur intention de tuer, et surtout, de gagner la bataille. Ils détruisent, tuent, faisant de ces paysages pitoresques des champs de bataille sanglants. Les superbes images de la jungle contrastent avec la dureté des affrontements guerriers, composant un déchirant paradoxe. Le contrast est imminent. On retrouve ce même contast dans la trame sonore. L'histoire et le scénario sont extrêmement durs, les images sont violentes et émotivement difficiles à regarder. Et voilà qu'accompagnée à ces images, on retrouve une douce et appaisante trame sonore. Très lente, elle joue paradoxalement avec l'action démesurement vite et incontrôlée qu'est la guerre. Le compositeur Hans Zimmer a su, encore une fois, triompher en apportant au film une toute autre dimension. Le traitement sonore est magistralement orchestré, où s'entremèlent les bruits ambiants, la musique et les voix qui traduisent les états d'âme des soldats.

23 octobre 2008

Digital Audio Recording, Now I Understand!

While studying for the quiz on friday, I realized I wasn't sure to understand the Digital Audio Recording part. So I asked, I researched, and I ended up with a clear résumé of how it works. By answering to my questions, Shaun helped me to understand the process! Now I understand!

Analog input signal:
This is the true representation of a sound, that hasn't been compromised in any way. The waveform is the true waveform where every point will have its own value.

Anti-distortion:
When we are recording analog to a computer, we have to make sure the levels don't peak and distort. We don't want the digital conversion to be distorted.

Sample and hold:
The process of sampling is what makes it digital. The sampling will determine how close the digital sound is to the analog sound. What is means is that the computer/software will make so many points per second to recreate the sound. At 44.1kHz, the analog sound is being sampled 44,100 times per second to create a digital sound wave.

Data Storage:
We can store it as uncompressed audio on the computer (WAV, or AIFF). In this format it stays top quality. In MP3 format, everything that is identical on both the left and the right is converted to mono to reduce the amount of information in the file. An MP3 at 192kHz will verify what is on both channels 192 000 times per second to ensure a good sound quality, where as if you go lower, then the quality diminishes.

Digital to Analog:
That's the physical process of creating a soundwave. A speaker will vibrate due to the electrical impulses sent to it, creating an analog soundwave. Or, we can send it to a cutting needle when we are cutting a vinyl recording. The needle will cut a groove into the record based on the same signal, creating an analog version of the sound on the record.

20 octobre 2008

Court-Métrage

En fin de semaine, j'ai joué dans le court-métrage d'un ami qui étudie en Télévision à Jonquière. Il avait désespérément besoin d'une actrice pour assurer le rôle principal, que j'ai accepté sans aucune hésitation. Depuis que je suis toute petite, j'ai toujours aimé jouer la comédie!
Avec ses coéquipiers, ils formaient une équipe de tournage de 6 personnes ; un à la caméra, deux à la direction, un pour la direction photographique, un aux éclairages ainsi qu'un preneur de son. Les scènes se déroulaient majoritairement à l'intérieur, dans des lieux loués (Le Café République, Le Tabasco Bar) et à l'appartement d'un ami. Ils ont eu l'opportunité, grâce à des contacts dans le milieu, de louer de l'équipement professionnel à la station de télévision Canal Vox.
J'ai trouvé cette fin de semaine de tournage extrêmement enrichissante. Étant donné que nous commençons à discuter de Sound Desing en e, j'ai pu constaté de façon tangible l'importance du son dans un film. Tout au long du tournage, j'ai porté une attention toute particulière au preneur de son. Muni d'une perche et d'une paire d'écouteurs, il se plaçait toujours relativement proche des acteurs, en s'assurant de ne jamais être dans le cadre. La perche était toujours placée au dessus de nos têtes, dans un angle incliné soit vers le haut ou vers le bas, dépendant des scènes. Avec une petite console portative, il dirigeait lui-même le volume et l'intensité sonore.
Nous avons tourné une scène extérieure et le preneur de son a installé une protection sur le microphone. Il m'a expliqué qu'on l'utilisait pour éviter de capter les bruits du vent.
À la fin de chaque scène intérieure, les acteurs se taisaient et s'immobilisaient pour que le preneur de son capte le room tone pendant plusieurs minutes. J'ai appris la signification et l'importance du room tone, son ambiant utilisé lors du montage. En parlant avec le preneur de son, il m'a informé à quel point la post production joue un rôle essentiel. Par exemple, une des scènes se tournait dans un bar. Nous devions parler fort, comme si la musique enterrait nos voix. Toutefois, il n'y avait pas de musique, elle sera ajoutée lors de la post production. Nous avons aussi simulé des cris, en parlant très fort, pour recréer une ambiance de bar. Ces sons seront juxtaposé à la musique lors du montage.

En participant à ce tournage, j'ai pu prendre conscience de la fonction qu'occupait le preneur de son, et de l'importance de bien capter les sons pour se faciliter la tâche lors de la post production.

10 octobre 2008

Non-Narrative

L’enregistrement des sons, isolés et ambiants, s’est effectué sans aucun problème majeur. Je me suis d’abord familiarisé avec l’enregistreuse, un tout nouveau medium pour moi. Il m’a fallu comprendre son fonctionnement, j’ai fait quelques tests avec le microphone, à différentes distances, afin de vérifier sa capacité.

J’ai opté pour un sujet plutôt ambigu pour mon projet, soit deux personnes ayant des rapports intimes. J’aime exploiter des thèmes qui dérangent, voire même rendent mal à l’aise. Pour un premier processus d’enregistrement, je fus agréablement surprise par la qualité des sons. J’ai appris à bien maîtriser l’enregistreuse, et à comprendre le fonctionnement du microphone. Le montage sur le programme ProTools s’est aussi bien déroulé, je crois avoir bien assimilé l’information durant les sessions au laboratoire.

Un seul petit problème, l'intensité sonore de mes sons. Lorsque j'ai transposé mon projet dans Itunes, j'ai réalisé que le son était très bas. Pourtant, lors du montage dans ProTools, tout était parfait. Shann m'a aidé à booster le volume, mais la prochaine fois, je dois être très vigilante lors de l'enregistrement des sons. Peut-être mon microphone était-il placé trop loin?

2 octobre 2008

Le Silophone

Lors de notre cours d'Intermedia 1, Matt Soar nous a présenté quelques projets interactifs, dont le Silo no°5. Il s'agit d'une production sonore réalisée dans le vieux Silo au coeur du Vieux-Port, maintenant hors fonction. À l'époque, il servait à entreposer les grains en provenance de l'ouest Canadien. Quelques artistes ingénieux ont réussi à lui trouver une toute nouvelle fonction. Grâce à ces hauts cylindres formant un énorme orgue, l'accoustique est impressionnante; la réverbération durant plus de 20 secondes.

"Silophone tire profit des capacités acoustiques hors-normes du Silo n° 5. En diffusant des sons en provenance du monde entier par le biais de diverses technologies de communication à l'intérieur d'un espace physique, Silophone crée un instrument qui estompe les limites entre musique, architecture et art-web. L’instrument Silophone reçoit des sons grâce à une combinaison originale de technologies de communication, dont le téléphone et l’internet. En provenance du monde entier, le son pénètre à l’intérieur du Silo, résonne dans les imposants cylindres de béton et transformé, il est capté par des microphones et rediffusé simultanément vers l’extérieur. Accueillant vos interventions 24 heures sur 24 par le biais du téléphone, du web et de l’observatoire sonore à l’extérieur de l’immeuble, l’instrument se nourrit d’une matière sonore en constante évolution."

Je fut extrêment impressionnée par l'ingéniosité de cette création. Il est possible d'entrer en contact avec le Sino no°5 en téléphonant au 514.844.5555, chose que j'ai faite. Lorsque la sonnerie a retentie, j'ai pu parler et ainsi entendre ma voix. Le concept est simple, le son de ma voix entre dans les cylindres équipés de microphones, et deux haut-parleurs nous permettent d'écouter l'écho de notre voix. Ce processus peut se faire aussi via Internet, en se redant sur un site web audio, et ainsi envoyer des fichiers sonores au Silophone.

Plusieurs artistes utilisent le Silophone comme plate-forme pour faire jouer leur musique. Plusieurs morceaux musicaux sont commandés à des musiciens, compositeurs et autres artistes du son pour être joués dans le Silophone. Il s'agit d'un projet très intéressant, que j'ai découvert avec le plus grand des plaisirs! C'est fou tout ce que l'on peut créer à partir de vieilles installations!

www.silophone.net

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